Le jour où… j’avais peur d’avoir froid aux fesses !

Ahhhh, le plaisir de travailler à l’hôpital… c’est aussi d’être rappelée la veille pour le lendemain par des cadres (désespérées) qui cherchent à boucher le trou laissé par la collègue qui aurait du travailler la nuit dernière et celle qui arrive, mais qui a son petit dernier qui s’est foulé le doigt en allant chercher le pain après son cours de piano (Damned !)
Alors elles t’appellent toi, L’Elue… parce que tu es la seule à pouvoir sauver le monde de cette catastrophe ! (…mais aussi parce que tu t’es déjà bouffée 2 nuits la semaine d’avant, et que t’en refais 3 le week-end qui suit. Comment ça tu travaille sur un poste « de jour » ?!! Kézako ?!)


J’aime bien les nuits (Si si, c’est vrai, mais à doses hométopathiques.)
La nuit c’est… différent ! Plus calme (si on compte pas les 15 coups de sonnettes de Mr et Mme Toulemonde qui ont envie de faire caca. En plein milieu de la nuit ?! Normal.)
Je n’ai pas de coup de barre la nuit (merci la caféine !)
Je dors bien en rentrant (4heures maximum avec le masque de nuit, les boules Quiès… « réveil naturel » entre 11h30 et 12h, toujours.)
Mon corps ne me réclame pas à manger la journée (un plat de pâtes à 3h du matin ça cale assez bien…)

Aujourd’hui je suis un peu à l’ouest après la douche (on se demande pourquoi !) : j’étais en train d’enfiler un slip alors que j’en portais déjà un que j’avais enfilé 5 minutes plus tôt !

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