Tout à commencé en 2011, peu après le voyage en Egypte. La mariage approchait, et il commençait à être temps de choisir la destination du voyage de noces afin d’en faire part aux invités.
Faire le tour des continents et des envies : Etats-Unis et Canada ? un combiné Guatemala et Cuba ? Argentine sauvage ? Afrique du Sud ? un combo Madagascar et la Réunion ? Tanzanie et Zanzibar ? Chine impériale ? Tant de pays qui font rêver… Et si je devais faire le dernier plus gros voyage de toute ma vie, où est-ce que je voudrais aller ?

A l’autre bout du monde, sans conteste.

De l’autre côté de la terre… L’Australie.

L’Australie oui, mais où dans ce pays vaste comme un continent ? Les grandes villes aux noms magiques ? Sydney, Melbourne, Darwin, Cairns, Perth, Adelaïde, Hobart. Les endroits qui donnent des étoiles plein la tête ? Uluru, la grande barrière de corail.
Le plus difficile a sans doute été de choisir quand afin d’avoir le meilleur « temps » possible. Les saisons étant inversées par rapport à chez nous, sachant que le Sud bénéficie d’un climat tempéré, que le Nord-est tropical humide avec sa saison des pluies, que le nord-ouest est tropical, et le centre sec et caniculaire… La décision a porté sur le mois d’avril : automne au Sud, fin de saison des pluies au Nord, par trop chaud au centre pour résumer.
Il ne restait plus qu’à ajouter à ça la contrainte de temps : 3 semaines. Mon travail ne me permettant pas davantage de congés. Et puis le budget, même s’il était hypothétiquement large, il n’était quand même pas infini : 5000€ par personne. Et puis aussi la facilité du semi-organisé où il n’y a pas à se demander chaque matin où nous allons bien pouvoir dormir le soir. (Pour un voyage de noces, il faut aussi partir la tête légère !)

La recherche a commencé en octobre sur internet, pendant des semaines, sur tous les sites spécialisés sur le pays et/ou dans les voyages de noces. Des dizaines. Des demandes de devis personnalisés avec nos contraintes. Et sont revenues autant de propositions alléchantes, mais il fallait bien faire un choix. Le budget a été le critère déterminant, quelques petits sacrifices au passage (exit la Tasmanie et l’ouest du pays), le temps pressant aussi puisque nous étions fin octobre et qu’il fallait booker les vols le plus rapidement possible.

Quelques formalités (et mois plus tard) : c’est parti !